Cette année Montalbert la plagne a encore accueilli le festiglisse. Une fois encore le BUGGY SKI était a l’honneur. Le premier jour, Jean Yves Blondeau était seul a montrer les capacités de l’armure a ski.
Le deuxième jour, il a été rejoint par son ami Riderman France. Ensemble ils ont synchronisé leur trajectoires. On attend encore la sortie de la video 360 [unitegallery montalbert_19]
Notez la presence de carole, qui compte parmi les pilotes actifs en BUGGY ROLLIN.
Une des descentes en freeride les plus attendues en europe est lemanik freeride. Petite route sinueuse qui commence en foret et termine a la lisière de la plaine. Rollerman était a Lemanik freeride.
la particularité c’était la premiere fois que nous avons extrait des images d’une camera a 360 degrés. Il y a une forte sensation de vitesse avec de beaux contrastes de lumière. [unitegallery lemanik_18]
Il n’y a qu’un jour dans l’année où il est possible d’obtenir une telle image. C’est le bonheur d’une parfaite synchronicité, où tout les éléments sont dans l’instant réunis . Le present se révèle alors dans sa magnificence.
En premier, ce dont vous avez besoin, pour réussir ce dessein, est d’un bon pilote BUGY ROLLIN, avec un œil artistique pour composer l’image, une belle inspiration chorégraphique pour sublimer l’environnement . Avec Jean Yves Blondeau comme modele, c’est tout est bon.
Pilote et Armure en parfaite coherence.
Le pilote devrait aussi avoir la bonne tenue. Cette armure BUGGY ROLLIN, nommée 9 Dragon, est une œuvre d’art par elle-même. Les dessins de dragons faits à la main, courent sur les surfaces des coques de l’armure, et plongent dans la combinaison sous armure en Lycra, créant ainsi une cohesion entre la surface et la profondeur. C’est un rappel de la cohésion nécessaire entre les coques d’armure, et l’esprit qui anime ses mouvements.. Le casque est également en cohérence avec le concept des 9 Dragon. Neuf est le nombre le plus puissant dans la tradition chinoise, ainsi que pour Nicholas Tesla (avec 3 et 6). Ce nombre était réservé a l’usage et aux qualificatif de l’empereur de chine uniquement. De nos jour, plus le nombre 9 apparaît sur le numéro de plaque d’immatriculation des voitures chinoise, le propriétaire est puissant. Dragon représente l’animal le plus puissant, doté d’un fort esprit de liberté. Ceci correspond parfaitement à l’esprit de Jean Yves Blondeau, ainsi qu’a son heritage culturel familial .
Photographe inspiré
Deuxièmement, vous avez besoin d’un bon photographe, qui travaille rapidement pour capturer la lumière et la composition de l’instant évanescent. Puisque nous ne sommes pas en studio, le timing doit être dans le moment présent exact. Carol est la bonne personne. Son esprit artistique s’adapte aux besoins de l’instant. De plus, elle était disponible pour ce jour précis.
La montagne magique.
Troisièmement, vous avez besoin de la montagne magique, avec la belle route, les arbres symphoniques, et l’altitude nécessaire pour obtenir et garder la neige. Le Semnoz en face de la maison ou est ne la BUGGY ROLLIN, à côté d’Annecy appartient à ces montagnes magiques avec un accès facile et une générosité de panoramiques esthétique.
Le present est parfait.
Quatrièmement, vous avez besoin de couleurs d’automne avec des feuilles encore sur les arbres. De première neige qui accepte de vous attendre une journée. Et par dessus de cela, vous avez besoin de soleil pour allumer le feu des couleurs. Cet événement se produit peut être une fois dans l’année et ne saurait durer plus d’une journée. Cette journée extraordinaire devrait être célébrée autant que Pâques, Noël ou un équinoxe. Ces images sont une bénédiction de ce présent existant.
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Creation d’une étoile multidimensionnelle.
Ayant compris les besoins qui furent nessecaire a la creation de ces images de BUGGY ROLLIN flamboyant, on peut considérer chaque variante comme des lignes de possibilité qui ont été concentrés en un point. Comparable a un faisceau de lasers convergents, il se crée un point d’éclat intense qui noue les dimensions comme une étoile dans le ciel. Une étoile qui est pleine de bonheur intense, une étoile qui vous invite à participer ensemble, à vibrer joyeusement à la beauté.
Depuis debut avril, Jean Yves Blondeau a rejoint l’équipe de Mr Gao a pekin dans le but d’établir une collaboration autour de la promotion du BUGGY ROLLIN et de Rollerman en China. Le plan est une implantation a long terme des activités du BUGGY ROLLIN, développement de produits, ligne de production, réseau de vente appuyés par une promotion sur le terrain. La premiere action a été de rencontrer Chang Yue dans sa propre ville. Nous y avons donné plusieurs représentations. L’une a l’université de médecine, et les autres au club de roller.
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On peut voir les étudiants alignés au milieu de la cour. Certains portent encore la blouse blanche de l’hôpital. On aurait aimer rester un peu et faire quelques dérapages en bonus sur les dalles. Mais l’autorisation de rouler est limitée dans le temps, et nous avons été priés de remballer avec les excuses de la presidente des élèves. Il y avait dans un coin, un petit groupe de longboarders. « Je suis allé les saluer. Mais je pense ne pas avoir été compris ni dans ce que je voulais dire, ni dans le fait que l’on partage la meme passion pour les routes de montagne. Je pense qu’ils ne le savent pas, et en y repensant, je me demande si ils vont rouler en montagne ? » .
Nous y avons rencontré de très jeunes patineurs.
Ensuite nous avons pris la route pour Chengde, au nord est de pekin. La-bas, le club de roller local, nous a préparé un programme serré avec de la descente, rencontre avec la télé locale, show sur le terrain d’entraînement du club entre les taries qui dansent et tambours traditionnels, puis descente pour le dernier jour.
Le spectacle était un joyeux tintamare. Chaque groupe poussant le son au maximum sans aucune attention pour le groupe d’a coté, ni meme l’idée de synchroniser l’espace sonore. A plus de 2 metres des enceintes il était impossible de distinguer a quel son se vouer.
L’important n’étant plus d’essayer de coller une chorégraphie sur la musique, mais simplement de montrer de mouvements a une foule turbulente et enjouée. Et puis tout d’un coup, la cacophonie s’arrête, la place se vide comme un ballon de baudruche qu’on dégonfle. Vite vite tout le monde se presse dans les voitures.
Pourquoi si pressé ? Parce que les restaurants vont fermer !
La premiere descente, c’était quelque chose ! Non pas qu’elle fut rapide, ou bien qu’elle fut technique, ou alors d’une qualité esthétique a couper le souffle. Non. Le profil de route était simplement suffisant pour reprendre l’entraînement. 7% de pente maximum, 40- 50 km/h sur 7 km. La route avait surface peu rugueuse qui pourrait paraître de bonne qualité.
C’était sans compter les centaines de poids lourds surchargés qui empruntent ce petit col. Vu de loin, ce qui ressemblait a des bouses de vache, noires, éparpillées tout le long de la route, étaient en fait des tiaffées de minerai débordant de chaque camion au moindre ressaut. Etre éclaboussé de purée noire était un moindre mal. Le vrai problème, c’est la route en souffrance, qui subit le laminage des trains de roues.
Sous la charge la route se tord comme de la pate a modeler. Elle commence par faire des vagues. Puis la surface bitumée craque, et fini par expurger les cailloux blancs de la sous couche, comme un bouton d’acné qu’on aurait pressé très fort. Si il est des cratères qui laissent encore encore un peu apparaitre une bande d’asphalte cohérente, sous l’écume des gravillons dégoulinant des bords de la plaie ; il en est qui sont impraticables pour nos tendres roulettes.
Il est alors impératif de se relever et de passer en marchant. J’ai essayé de passer un cratère avec de la vitesse, mais je me suis retrouvé planté sur les tranchants des cailloux pointus, lacérant la surface des coques de l’armure. Un vrai coup de vieux pour la carapace. Il fallait donc a tout prix éviter les trous.
Le lendemain nous somme revenu pour essayer l’autre cote de la montagne. J’avais repéré une route en béton blanc tout lisse te tout neuf, étroit et pentu. Nous l’avons donc essayé. Faute de temps, je n’avais pu explorer la route jusqu’en bas. dans sa premiere partie, elle court le long de la pente de la montagne. Puis elle coule au fond de la vallée. De loin, je la voyant rejoindre un village en contre bas.
J’avais sous-estimé ses vaguelettes. Avec la vitesse, a plat ventre, la route est vite devenue un vibromasseur géant. L’inconvenant principal étant la difficulté a garder un champ visuel stable. Ce sont les muscles du cou qui font office de stabilisateur. Cela devient vite intenable.
La partie basse fut aussi épique, avec de belles relances, des segments recouverts de graviers, et une fin sur un chemin rural en terre.
Apres avoir déjeuner dans un restaurant dont l’intérieur est tout beau tout neuf, lové dans un village improbable, L’équipe de tournage de drone a voulu nous montrer une autre route.